4.8.10

Seleccionador norte-coreano condenado a 14 anos de trabalhos forçados

Como punição pelos maus resultados. Nem as interferências do filho do supremo-líder - e próximo líder norte-coreano - na composição da equipa serviu de atenuante. Maravilhas da democracia popular, que por cá tantos apreciam de longe, do conforto de uma sociedade democrática e capitalista, em países como Cuba, China, Venezuela, Bolívia, i.a.

Via O Cachimbo de Magritte.

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Pour n'avoir pas franchi le premier tour lors de la dernière Coupe du monde, Kim Jong-hun a tout perdu. Juché sur une scène du Palais des peuples de Pyongyang, l'entraîneur a eu droit à une séance de critiques publiques avant que ses joueurs - à l'exception des deux qui ont eu l'heureuse idée de s'enfuir au Japon - soient forcés à l'humilier à leur tour. À l'issue de ce procès dans le plus pur style stalinien, le sélectionneur, coupable de «trahison de la confiance de Kim Jong-iI » (le dictateur nord-coréen), était exclu du parti unique et condamné… aux travaux forcés. Il devra porter des charges sur un chantier pendant quatorze heures par jour.

Héros du pays il y a encore peu pour avoir qualifié son pays après 44 ans d'attente, Kim Jong-hun peut remâcher l'injustice de sa disgrâce. D'abord parce que c'est le fils du dictateur qui composait l'équipe. Ensuite parce que, après la défaite honorable contre le Brésil (2-1), les dirigeants avaient décidé de retransmettre le match contre le Portugal, en faisant le premier événement diffusé en direct dans l'histoire du pays. Au coup de sifflet final, l'addition était sévère: une déroute 7 à 0. Mais depuis longtemps déjà, la retransmission avait été interrompue

Kim Jong-hun avait qualifié la Corée du Nord, après 44 ans après sa dernière participation à la Coupe du monde.
Kim Jong-hun avait qualifié la Corée du Nord, après 44 ans après sa dernière participation à la Coupe du monde.Read more at www.lefigaro.fr

2 comentários:

Carlos Velasco disse...

Caro Luís,

Os horrores são tantos que até esqueci essa notícia. Pobre homem! Lembro de ter lido que ele nem foi o responsável pela táctica coreana, que foi determinada pelo filho do actual querido líder.
Não que, no caso dele ter sido responsável, merecesse qualquer punição. Isso é doentio. Mas evidencia mais ainda o quanto um homem é um escravo da vontade de psicopatas irresponsáveis neste tipo de regime.

Um grande abraço.

Francisco Vilaça Lopes disse...

Realmente