«Amsterdam, 8 décembre - Mickel Aziz, chauffeur de tram hollandais d’origine copte est désespéré. Il vient d’être mis à pied deux fois par la Régie des trams d’Amsterdam (GVB) parce qu’il porte une croix en pendentif. La régie a dernièrement fait fabriquer spécialement pour ses employées musulmanes un foulard aux couleurs de la régie Il ne comprend pas, d’autant que ses collègues musulmanes de sexe féminin ont, elles, le droit de porter un foulard. La GVB a même dernièrement fait fabriquer spécialement pour elles un foulard aux couleurs de la régie. Quand il a demandé des explications, on lui a répondu que :1. il ne s’agit pas de la croix, mais les chauffeurs ne sont pas autorisés à porter un bijou car cela nuit à l’image professionnelle de la régie, 2. les chrétiens ne sont pas obligés de porter une croix alors que les employées musulmanes doivent selon le Coran porter un foulard.M. Aziz est perplexe. Il explique qu’il porte sa croix depuis plus de 20 ans. Jusqu’à il y a quelques années, les foulards n’étaient pas autorises au travail, mais sa croix l’était. Et c’est maintenant le contraire. De plus, la GVB lui a dit que sa mise à pied était aussi motivée par les propos “islamophobes” qu’il aurait tenus dans une lettre qu’il avait envoyée à la régie. Dans celle-ci, il reprochait à la régie de céder devant la pression musulmane à cause d’une certaine peur. Il expliquait à la régie qu’étant arabophone, il entendait les propos de ses collègues musulmans et que ces propos n’étaient pas tendres pour les Occidentaux. En désespoir de cause, M. Aziz, qui a 56 ans et qui est venu en Hollande en 1982 pour fuir les persécutions religieuses en Égypte, s’est adressé aux reporters de Netwerk, une émission d’actualités quotidiennes de la deuxième chaîne publique, émission très regardée en Hollande et qui a souvent contribué à résoudre les cas présentés aux téléspectateurs. Depuis, son cas est devenu public. Un conseiller municipal VVD (parti libéral) et un conseiller municipal ChristenUnie (parti chrétien protestant plus à droite que les Chretiens-Démocrates) d’Amsterdam ont demandé des explications à la régie et vont porter le cas devant le conseil municipal du 16 décembre. Revers de la médaille de la médiatisation de son cas, M Aziz s’est vu informer par la Régie que s’il parlait encore de son cas dans un média, il serait définitivement licencié. Monsieur Aziz a porté son cas devant le tribunal administratif d’Amsterdam et le jugement est attendu lundi prochain. S’il ne gagnait pas, M. Aziz a dit qu’il perdrait toute confiance dans la démocratie hollandaise, pays chrétien où il était venu pour fuir les persécutions religieuses de son pays.»
«Mikel Aziz mostra o objecto do delito» (Legenda Bivouac-ID)
Notável: ao fim de 27 anos a viver na Holanda, país onde se refugiou devido à perseguição que os muçulmanos egípcios movem aos cristãos coptas, volta a ser perseguido, já não pelos muçulmanos, mas por uma empresa holandesa dhimmizada, ou seja, que, não sendo muçulmana, aceita a soberania islâmica, actua de acordo com a sharia e a impõe na sua esfera de influência.
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