30.6.11

«Na Holanda aumentam os casos de perturbação muçulmana de funerais de infiéis»

Alcorão 5:14 (http://quran.com/5/14):
«E também aceitamos a promessa daqueles que disseram: Somos cristãos! Porém, esqueceram-se de grande parte do que lhes foi recomendado, pelo que disseminamos a inimizade e o ódio entre eles, até ao Dia da Ressurreição. Deus os inteirará,então, do que cometeram.»

Alcorão 5:51-52 (http://quran.com/5/51-52):
«51Ó fiéis, não tomeis por confidentes os judeus nem os cristãos; que sejam confidentes entre si. Porém, quem dentre vós ostomar por confidentes, certamente será um deles; e Deus não encaminha os iníquos. 52Verás aqueles que abrigam a morbidez em seus corações apressarem-se em Ter intimidades com eles, dizendo:Tememos que nos açoite uma vicissitude! Oxalá Deus te apresente a vitória ou algum outro desígnio Seu e, então,arrepender-se-ão de tudo quanto haviam maquinado.»

Alcorão 4:101 (http://quran.com/4/101):
«Quanto viajantes pela terra não sereis recriminados por abreviardes as orações, temendo que vos ataquem osincrédulos; em verdade, eles são vossos inimigos declarados.»

Hombre Periodista:
Buenos días.
Amerstoort ayer por la mañana.
Los familiares acompañaron a la difunta Sra. Hazeleger a su último lugar de descanso.
Pero para su horror, el funeral fue súbitamente emboscado por niños de origen marroquí.
Y no es la primera vez que ocurre un incidente de este tipo.
Aquí está nuestro informe:

Familiar y testigo presencial:
De repente empezaron a gritar de alegría, con los dedos estirados hacia arriba y otros gestos de este tipo. Creo que esto es realmente vergonzoso

Mujer Periodista:
Indignación en Amersfoort
El martes pasado, estudiantes de esta escuela islámica interrumpieron un funeral.
A medida que la caravana pasaba delante de los estudiantes, estos comenzaron a gritar y hacer gestos obscenos.
Mucha consternación entre los familiares que iban en la procesión del funeral.

Familiar y testigo presencial:
Estoy mejor ahora, pero yo estaba muy dolido por esto.

Mujer Periodista:
Con creciente regularidad los funerales son perturbados por los jóvenes revela Grete Braak, directora de la funeraria que dirige desde hace muchos años.
Varias veces tuvo que presenciar como estos jóvenes desbarataban totalmente un funeral.
Con un solo propósito: hacer daño a los familiares.

Grete Braak, Directora de Pompas Fúnebres:
Yo quería volver a la calle y vi llegar a un grupo de chicos.
Me detuve para dejarlos pasar.
Y me preguntaron: "¿se trata de un musulmán?"
Yo les contesté: "No, ¿por qué?"
A continuación, corrieron hacia el coche y golpearon el techo con sus puños, y dijeron: “un perro menos”

_________________________________________________________________
Hasta la fecha no ha habido disculpas por parte de la dirección de la escuela ni de los líderes religiosos del Islam en Holanda.
¿Para qué? Si todos saben lo que dice el Corán

Corán 5:14: Concertamos un pacto con quienes decían: "Somos cristianos". Pero olvidaron parte de lo que se les recordó y, por eso, provocamos entre ellos enemistad y odio hasta el día de la Resurrección. Pero ya les informará Alá de lo que hacían.

Corán 5:51-52: ¡Creyentes! ¡No toméis como amigos a los judíos y a los cristianos! Son amigos unos de otros. Quien de vosotros trabe amistad con ellos, se hace uno de ellos. Alá no guía al pueblo impío. Ves a los enfermos de corazón precipitarse a ellos, diciendo: "Tenemos miedo de un revés de fortuna". Pero puede que Alá traiga el éxito u otra cosa de Él y, entonces, se dolerán de lo que habían pensado en secreto.

Corán 4:101: …Los infieles son para vosotros un enemigo declarado.

Corán 8:15-17: Creyentes! Cuando os encontréis con los infieles marchando, no les volváis la espalda! Quien ese día les vuelva la espalda -a menos que sea que se destaque para acudir a otro combate o para incorporarse a otra tropa- incurrirá en la ira de Alá y tendrá la gehena por morada. Qué mal fin...! No erais vosotros quienes les mataban, era Alá Quien les mataba. Cuando tirabas, no eras tú quien tiraba, era Alá Quien tiraba, para hacer experimentar a los creyentes un favor venido de Él. Alá todo lo oye, todo lo sabe.

NOTAS

Para visionar el video, pulsar AQUÍ

http://www.youtube.com/watch?v=wpImdawOJLw&feature=player_embedded

http://www.religionenlibertad.com/articulo.asp?idarticulo=16260

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Frédéric Bastiat: L'État

No dia do 210º aniversário do nascimento de Bastiat.
Excerto.
Leia tudo.

Também em inglês (http://www.panarchy.org/bastiat/state.1848.html) e em italiano (http://www.panarchy.org/bastiat/stato.1848.html).

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Frédéric Bastiat

L'État

(1848)

Note

Article publié dans le Journal des Débats, numéro du 25 septembre 1848.

 

Je voudrais qu'on fondât, un prix, non de cinq cents francs, mais d'un million, avec couronnes, croix et rubans, en faveur de celui qui donnerait une bonne, simple et intelligible définition de ce mot: l'État.

Quel immense service ne rendrait-il pas à la société!

L'État!
Qu'est-ce?  où est-il?  que fait-il?  que devrait-il faire?

Tout ce que nous en savons, c'est que c'est un personnage mystérieux, et assurément le plus sollicité, le plus tourmenté, le plus affairé, le plus conseillé, le plus accusé, le plus invoqué et le plus provoqué qu'il y ait au monde.

Car, Monsieur, je n'ai pas l'honneur de vous connaître, mais je gage dix contre un que depuis six mois vous faites des utopies; et si vous en faites, je gage dix contre un que vous chargez l'État de les réaliser.

Et vous, Madame, je suis sûr que vous désirez du fond du coeur guérir tous les maux de la triste humanité, et que vous n'y seriez nullement embarrassée si l'État voulait seulement s'y prêter.

Aussi je demande qu'on me le montre, qu'on me le définisse, et c'est pourquoi je propose la fondation d'un prix pour le premier qui découvrira ce phénix. Car enfin, on m'accordera bien que cette découverte précieuse n'a pas encore été faite, puisque, jusqu'ici, tout ce qui se présente sous le nom d'État, le peuple le renverse aussitôt, précisément parce qu'il ne remplit pas les conditions quelque peu contradictoires du programme.

Faut-il le dire?  Je crains que nous ne soyons, à cet égard, dupes d'une des plus bizarres illusions qui se soient jamais emparées de l'esprit humain.

L'homme répugne à la Peine, à la Souffrance. Et cependant il est condamné par la nature à la Souffrance de la Privation, s'il ne prend pas la Peine du Travail. Il n'a donc que le choix entre ces deux maux.

Comment faire pour les éviter tous deux?  Il n'a jusqu'ici trouvé et ne trouvera jamais qu'un moyen: c'est de jouir du travail d'autrui; c'est de faire en sorte que la Peine et la Satisfaction n'incombent pas à chacun selon la proportion naturelle, mais que toute la peine soit pour les uns et toutes les satisfactions pour les autres. De là l'esclavage, de là encore la spoliation, quelque forme qu'elle prenne: guerres, impostures, violences, restrictions, fraudes, etc., abus monstrueux, mais conséquents avec la pensée qui leur a donné naissance.  On doit haïr et combattre les oppresseurs, on ne peut pas dire qu'ils soient absurdes.

L'esclavage s'en va, grâce au Ciel, et, d'un autre côté, cette disposition où nous sommes à défendre notre bien, fait que la Spoliation directe et naïve n'est pas facile. Une chose cependant est restée. C'est ce malheureux penchant primitif que portent en eux tous les hommes à faire deux parts du lot complexe de la vie, rejetant la Peine sur autrui et gardant la Satisfaction pour eux-mêmes. Reste à voir sous quelle forme nouvelle se manifeste cette triste tendance.

L'oppresseur n'agit plus directement par ses propres forces sur l'opprimé. Non, notre conscience est devenue trop  méticuleuse pour cela. Il y a bien encore le tyran et la victime, mais entre eux se place un intermédiaire qui est l'État, c'est-à-dire la loi elle-même. Quoi de plus propre à faire taire nos scrupules et, ce  qui est peut-être plus apprécié, à vaincre les résistances?  Donc, tous, à un titre quelconque, sous un prétexte ou sous un autre, nous nous adressons à l'État. Nous lui disons:
« Je  ne trouve pas qu'il y ait, entre mes jouissances et mon travail, une proportion qui me satisfasse.  Je voudrais bien, pour établir l'équilibre désiré, prendre quelque peu sur le bien d'autrui. Mais c'est dangereux. Ne pourriez-vous me faciliter la chose?  Ne pourriez-vous me donner une bonne place?  Ou bien gêner l'industrie de mes concurrents?  Ou bien encore me prêter gratuitement des capitaux que vous aurez pris à leurs possesseurs?  Ou élever mes enfants aux frais du public?  Ou m'accorder des primes d'encouragement?   Ou m'assurer  le bien-être quand j'aurai cinquante ans?  Par ce moyen, j'arriverai à mon but en toute quiétude de conscience, car la loi elle-même aura agi pour moi, et j'aurai tous les avantages de la spoliation sans en avoir ni les risques ni l'odieux! »

Comme il est certain, d'un côté, que nous adressons tous à l'État quelque requête semblable, et que, d'une autre part, il est avéré que l'État ne peut procurer satisfaction aux uns sans ajouter au travail des autres, en attendant une autre définition de l'État, je me crois autorisé à donner ici la mienne. Qui sait si elle ne remportera pas le prix?
La voici:

L'état,
c'est la grande fiction
à travers la quelle tout le monde
s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde.

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29.6.11

M. Phillips: «O teatro flutuante da jihad»

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Shopping Centers em Gaza

Na Faixa de Gaza, duas coisas são esperadas em Junho.
A primeira é que um de segundo Shopping Mall deve ser inaugurado. De acordo com Khaled abu Toameh, este novo Shopping Mall abrigará um enorme supermercado, lojas de roupas e presentes, um vasto restaurante, um moderno café, um cinema e espaços de entretenimento para crianças. Este grande e novo Shopping Center complementa o primeiro, inaugurado no ano passado, bem como os restaurantes de alta gastronomia que já estão transformando Gaza num ímã para os árabes apreciadores de boa comida.
A segunda coisa programada para acontecer é a chegada de uma enorme segunda flotilha trazendo “suprimentos humanitários” para, bem, aliviar a fome e a pobreza de Gaza... Na última vez, os suprimentos médicos humanitários estavam com a data de validade vencida há muito tempo. Dessa vez, quem sabe, os organizadores estejam querendo estabelecer uma experiência de compras rival — trazendo em seus barcos e navios produtos com a grife “Comércio Terrorista”, ou, talvez, “Jihadista Chique” — para competir com os dois mega-shoppings.
Absurdo? É claro que sim. Mas o objetivo desse exercício não é aliviar carências. É meramente para encenar um ato de propaganda que faça com que Israel apareça mal aos olhos de um mundo crédulo e malevolente.
Da última vez, a IHH, uma organização terrorista turca estava a cargo do barco principal da flotilha, o Mavi Marmara e tentou linchar uma equipe de abordagem israelense que buscava armas contrabandeadas e que abriu fogo em autodefesa — causando a imediata reação de um Ocidente pós-racional: acusar Israel de “agressão”.
Entusiasmado por aquele triunfo, o IHH, que desempenha papel central na organização dessa segunda flotilha, está planejando manipular os prestativos idiotas ocidentais para um paroxismo de ódio ainda maior contra Israel ao provocá-lo com uma flotilha muito maior que a primeira, Segundo relatos, o terreno já está sendo preparado para uma barragem de propaganda antecipada.
Mas isso não é nem a metade do que pretendem.
No dia 30/05/2011, a TV israelense divulgou informações de que o IHH estava planejando demonstrações tanto em aeroportos europeus quanto no Aeroporto Ben Gurion, em Israel, fazendo uso de incautos e de fanáticos europeus e americanos a caminho de encenar sua missão “humanitária” pra acabar com “as mortes causadas pela fome” em Gaza. (Será que alguém já lhes contou que o Egito abriu o posto de checagem de fronteira em Rafah, que até há pouco estava fechado?). 
Podemos todos imaginar o que poderá acontecer. Aeroportos são locais onde a segurança é necessariamente apertada e rígida. Os membros da flotilha com aparência de viajantes comuns bem podem começar uma cena e simplesmente para provocar as autoridades aeroportuárias a agir com mão pesada, coisa que eles então explorarão berrando “racismo”, “crimes de guerra”, e assim por diante.
Podemos esperar ver crianças dispostas como escudos humanos na linha de frente das barreiras de segurança, assim como nos próprios barcos da flotilha. Com um pouco de sorte, assim é sua esperança, algum policial nervoso pode disparar contra um dos membros da flotilha, ou — ainda melhor — contra alguma criança do grupo. Por uma espantosa coincidência, seus patetas voluntários da mídia ocidental estarão a postos para filmar tudo.
A turma da flotilha se apresentará como uma missão pacífica e humanitária sendo prejudicada pelos sionistas fascistas e seus lacaios. Seus bajuladores na mídia vão reproduzir fielmente o script que lhes derem para divulgar. Ma será um truque cínico e encenado para explorar e manipular a credulidade, ignorância e malícia ocidentais.
Não é apenas um plano para jogar com a idiotia de ocidentais tapados, mas um plano que também ameaça a segurança de passageiros de avião que nada têm a ver com isso, na medida em que o caos pode se estabelecer e as autoridades dos aeroportos podem se desviar de outras ameaças à segurança para lidar com essas desordens programadas. 
O que é que os líderes ocidentais estão fazendo para evitar isso? Acordem Alemanha, França, Itália, Espanha e Suíça. Vocês estão fornecendo a trupe, a companhia de repertório, para esse teatro flutuante.
O que é que os israelenses estão fazendo para superar com esperteza mais essa peça de guerra psicológica? Onde estão suas próprias unidades centralizadas de guerra psicológica para fazer frente a esse desafio? Acorde, Sr.Lieberman. Acorde, Sr. Edelstein. Acorde, Sr. Netanyahu. Esta é a guerra da mente. Vão para campo de batalha certo, e rápido. 
Tradução: Henrique Dmyterko
Publicado originalmente na Spectator.co.uk/melaniephillips em 31.05.2011    
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27.6.11

«Não se tratou de roubar a Palestina, mas de comprar Israel»

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por Daniel Pipes
National Review Online
21 de Junho de 2011

Original em inglês: Not Stealing Palestine but Purchasing Israel
Tradução: Joseph Skilnik

Os sionistas roubaram terras palestinas: é esse o mantra que tanto a Autoridade Palestina quanto o Hamas ensinam aos seus filhos e disseminam na mídia. Essa alegação tem uma importância enorme, conforme explica o Palestinian Media Watch: "Apresentar a criação do estado [israelense] como um ato de ladroagem e a continuação de sua existência como uma injustiça histórica serve como base da AP para o não reconhecimento do direito de Israel existir". A acusação de roubo também corrói a posição de Israel internacionalmente.

Contudo, essa acusação é verdadeira?

Não, não é. Ironicamente, a criação de Israel representa uma das mais pacíficas migrações e criações de um estado na história. Para entender porque, requer considerar o sionismo no contexto. Colocado de maneira simples, conquista é a norma histórica, em todos os lugares governos foram estabelecidos por meio de invasões, praticamente todos os estados se formaram às custas de alguém. Ninguém fica permanentemente no comando, as raízes de todo e qualquer indivíduo se originam em algum outro lugar.

Tribos germânicas, hordas da Ásia Central, czares russos e conquistadores espanhóis e portugueses redesenharam o mapa. Os gregos modernos têm apenas uma conexão tênue com os gregos da antiguidade. Quem é capaz de enumerar quantas vezes a Bélgica foi invadida? Os Estados Unidos foram criados com a derrota dos americanos nativos. Reis saquearam a África, os arianos invadiram a Índia. No Japão, os falantes do idioma Yamato eliminaram praticamente a todos, menos alguns minúsculos grupos como o Ainu.

O Oriente Médio, devido a sua centralidade e posição geográfica, viu a sua cota de invasões passar da conta, incluindo os gregos, romanos, árabes, cruzados, seljúcidas, timúridas e europeus modernos. Na região, ressentimento e tormento dinástico fizeram com que o mesmo território – o Egito por exemplo – fosse conquistado e reconquistado.

Imagística palestina: Um tubarão como Estrela de Davi devora a Palestina.

A terra que constitui o Estado de Israel de hoje, não é exceção. Em Jerusalem Besieged: From Ancient Canaan to Modern Israel, Eric H. Cline escreve sobre Jerusalém: "Por nenhuma outra cidade se combateu de maneira tão implacável através de sua história". Ele fundamenta a alegação enumerando "pelo menos 118 conflitos distintos, em e por Jerusalém durante os últimos quatro milênios". Ele calcula que Jerusalém foi destruída por completo ao menos duas vezes, sitiada 23 vezes, capturada 44 vezes e atacada 52 vezes. A AP fantasia que os palestinos de hoje são descendentes de uma tribo do antigo Canaã, os jebusitas; de fato, mas a maioria esmagadora é descendente de invasores e imigrantes a procura de oportunidades econômicas.

Muitas guerras por Jerusalém: O imperador Tito celebra a sua vitória sobre os judeus em 70 d.C. com uma arca mostrando soldados romanos retirando uma menorá do Templo do Monte.

Contra esse quadro de conquistas, violência e golpes incessantes, o empenho sionista em construir uma presença na Terra Santa até 1948 se destaca como espantosamente moderada, mais mercantil do que militar. Dois grandes impérios, o otomano e o britânico governaram Eretz Yisrael; contrastando, os sionistas careciam de poder militar. Eles não poderiam alcançar a soberania por meio da conquista.

Como alternativa, compravam terras. Adquirir propriedade quilômetro quadrado por quilômetro quadrado, fazenda por fazenda, casa por casa, estava no coração do espírito empreendedor sionista até 1948. O Fundo Nacional Judaico, fundado em 1901 com o objetivo de comprar terras na Palestina "para ajudar na formação de uma nova comunidade de judeus livres comprometidos com atividades produtivas e pacíficas", foi a instituição chave – e não a Haganah, a organização de defesa clandestina fundada em 1920.

Os sionistas também se concentraram na reabilitação do árido e do considerado imprestável. Eles não só fizeram o deserto florescer como também drenaram os pântanos, limparam os canais de água, recuperaram terras devolutas, reflorestaram colinas despojadas, removeram rochas e retiraram sal do solo. O trabalho de recuperação e saneamento judaico reduziu radicalmente o número de mortes relacionadas a doenças.

Somente quando a potência mandatária britânica desistiu da Palestina em 1948, imediatamente seguida pelo ataque dos países árabes usando todos os recursos e meios disponíveis para esmagar e expulsar os sionistas, que eles tiraram a espada da bainha em legítima defesa e passaram a adquirir terras através da conquista militar. Mesmo então, segundo demonstra o historiador Efraim Karsh em Palestine Betrayed, a maioria dos árabes fugiram de suas terras, sendo que um número extremamente reduzido foi forçado.

Essa história contradiz a explicação palestina de que "gangues sionistas roubaram a Palestina e expulsaram a sua gente", que levou à catástrofe "sem precedentes na história" (de acordo com um livro escolar do 3º ano do ensino médio da AP) ou que os sionistas "pilharam as terras e os interesses nacionais palestinos e estabeleceram seu estado sobre as ruínas do povo árabe palestino" (conforme escreve um colunista no diário da AP). Organizações internacionais, editoriais de jornais e petições de faculdades reiteram essa falsidade em todo o mundo.

Os israelenses deveriam andar de cabeça erguida e salientar que a construção do seu país baseou-se no movimento menos violento e mais civilizado do que qualquer outro povo da história. Gangues não roubaram a Palestina, comerciantes compraram Israel.

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Da jihad contra os judeus, nem os mortos escapa

Alcorão 5:82: «Constatarás que os piores inimigos dos fiéis, entre os humanos, são os judeus e os idólatras. (...)»

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Imagine if the shoe were on the other foot. A story like this could create an international incident. Instead, only a few Jewish and Israeli news organizations have picked up this report thus far. "Jewish graves vandalized at Mount of Olives," from the Jewish Telegraphic Agency, June 22 (thanks to Dumbledoresarmy):

JERUSALEM (JTA) -- More than a dozen graves at the Mount of Olives cemetery in Jerusalem were vandalized, the latest in a series of attacks on one of Judaism's oldest cemeteries.
On June 14, some 14 graves were damaged by Arab youths wielding sledgehammers, according to private security guards stationed at the iconic cemetery located in eastern Jerusalem. At least five of the damaged gravesites are those of Americans buried in the cemetery, according to Rabbi Moshe Bezalel Buzokovsky of the Chevra Kadisha.
The recent damage is in addition to vandalism sustained at the cemetery last month on Nakba Day, or Catastrophe Day, when Arabs mark the declaration of the state of Israel. During riots, Palestinians hurled large rocks and boulders toward the graves, chipping and breaking at least 15. Arab youths also vandalized or destroyed nearly 40 newly installed surveillance cameras in the cemetery, according to the International Committee for the Preservation of Har HaZeitim. Har HaZeitim is the Hebrew name for the Mount of Olives.
At the same time, local Arabs began illegally expanding a mosque to within 15 feet of the grave of Menachem Begin, according to the committee.
In the last year, efforts of the committee have resulted in the restoration of 2,000 of an estimated 40,000 graves that were destroyed prior to 1967 under Jordanian rule, an increased private security presence as well as the installation of 50 surveillance cameras and fluorescent lighting.
There are an estimated 150,000 graves on the Mount, where Jews have been buried since biblical times. Notable individuals buried there include the prophets Zechariah, Malachi and Hagai; famous modern rabbis such as Aryeh Kaplan and Ahron Soloveichik; Henrietta Szold, founder of Hadassah; Hazzan Yossele Rosenblatt; and British Parliament member Robert Maxwell.
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26.6.11

Para os mujahideen, na jihad vale tudo

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"Afghanistan: Eight-year-old girl 'used in attack'," from BBC News, June 26:

An eight-year-old girl has been killed after insurgents used her in a bomb attack on police in southern Afghanistan, the government has said.
The interior ministry said insurgents gave the girl a package and told her to take it to a police vehicle, detonating it as she approached.
No-one else was killed in the explosion, in Uruzgan province.
The incident came a day after an attack on a hospital which killed at least 38 people in the east of the country.
Dozens were injured. Elderly people, pregnant women and children were said to be among the casualties.
'No respect'
A statement by the ministry described the Uruzgan incident as a "crime and a shameful act".
The area where the alleged incident happened is very remote, and it was not possible to independently verify the reports.
"The child, pure-hearted and in good faith, took the bag and moved towards the police vehicle," it said.
"As she got close to the police vehicle, the enemy detonated the bomb by remote control, killing the innocent child."
The governor of Char Cheno district, where the attack took place, told the BBC the girl was from the nearest village.
She was told nothing would happen to her, he said, adding that the perpetrators had "no boundary, no respect for anything".
Correspondents say insurgents have recruited both adult women and recently male children to carry out suicide attacks, though the Taliban denies recruiting children.
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24.6.11

«O Vaticano ajudou os judeus», afirma o embaixador israelita em Roma

Porque nunca é demais repeti-lo, contra a pseudo-sabedoria popular e supostamente intelectual: a Santa Sé e o Papa Pio XII ajudaram de diversos modos os judeus de Roma.
A asserção segundo a qual Pio XII é o «papa de Hitler» não tem fundamento e resultou de uma campanha levada a cabo por serviços secretos do Leste comunista, a qual encontrou solo fértil para se expandir no anti-catolicismo endémico das classes putativamente cultas do Ocidente.

En el ámbito del reconocimiento «Justo entre las naciones» en memoria de don Gaetano Piccinini, el diplomático israelí, recordó el rol de la Iglesia en defensa de su pueblo
El embajador de Israel en la Santa Sede, Mordechay Lewy, al conferir el reconocimiento de “Justo entre las naciones” en memoria de don Gaetano Piccinini (1904-1972), religioso orionista de la congregación (Pequeña Obra de la Divina  Providencia) que se empeñó para salvar a muchos hechreos poniendo en riesgo su propia vida, declaró «sería un errore pensar que la ayuda a los hebreos durante la Guerra, en Roma, haya partido de conventos e institutos religiosos como si fuera una iniciativa sin el apoyo del Vaticano».
«Sería erróneo declarar que el Vaticano y el Papa se oponían a las acciones que favorecieron a los hebreos –declaró el embajador Lewy. La Santa Sede se empeñó. No pudo evitar que partiera el tren hacia Auschwitz el 18 de octubre de 1943. Seguramente los hebreos romanos esperaban en ese momento la protección del Papa, pero es un hecho que el del 18 de octubre fue el único convoy que salió hacia Auschwitz». Según el embajador  Lewy la «voluntad vaticana» por salvar a los hebreos es «un hecho».
Durante la ceremonia hablaron dos de las personas que ayudó don Piccinni: don Giuseppe Sorani en septiembre de 1943 era un muchacho hebreo de 15 años, que don Piccinini escondió y salvó; y Bruno Camerini, que se salvó con las hermanas y con la madre de don Piccinini, que recordaron cómo don respetaba siempre la fe hebraica. Don Flavio Peloso, superior general de los Orionistas, recordó cómo don Piccinini «concentraba en sí mismo toda una Protección civil de la caridad» y tras la guerra fue infatigable para socorrer a los pobres y a las víctimas italianas del terremoto de Irpina en 1962 y de la presa de Vajont en 1963 (Italia), y a las víctimas del terremoto en Belice de 1972.
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Muçulmanos afegãos decapitam apósta, converso ao cristianismo

E isto com base no exemplo e na palavra do profeta Mafoma:

Ibn Abbaas said : The Messenger of Allah said, “Whoever changes his (Islamic) religion, kill him.” Al-Bukhary (number 6922)

Se não acreditais, lede:
http://www.jihadwatch.org/2008/09/muhammad-whoever-changes-his-religion-kill-him.html

La situación de los cristianos en Afganistán no fue excelente bajo la bota comunista de los rusos, pero no eran degollados, hoy con el presidente Hamid Karzai sostenido por las fuerzas internacionales de la OTAN, España entre ellas, los tribunales del estado afgano, no el aún más criminal de los talibanes, ha condenado a muerte a los musulmanes que han apostatado y se han convertido al cristianismo.

Recientemente creyentes muy fervientes del Islam han gravado un video en el que se ve como decapitan a un cristiano en Afganistán en la provincia de Herat.

Los fieles musulmanes capturan a un hombre de unos 40 años, llamado Abdul Latif, en las afueras de Enjeel, una ciudad al sur de Herat.
En el video de dos minutos, los cuatro musulmanes llevan cinturones de explosivos y kefias para cubrir sus rostros y recitan versos del Corán mientras obligan a Abdul Latif a yacer en el suelo y le aplastan la cabeza, y uno de ellos dice en persa que “"Los que se unen con los paganos. . . su sentencia es ser decapitado” y "El que cambia de religión debe ser ejecutado"

Recitan islámicamente pasajes del Corán: 8:12: …Infundiré el terror en los corazones de quienes no crean. Cortadles del cuello, pegadles en todos los dedos!" y los hadices de Muhammad.

Los devotos musulmanes agarran el cuerpo del cristiano y uno de ellos le va seccionando el cuellos con una cuchillos, mientras la sangre fluye sobre la tierra, y los musulmanes entonan cánticos de alegrían y repiten Allahú Akhbar [Alá es el más grande], cuando la cabeza ha sido separada del cuerpo es depositada en la parte superior del pecho del cuerpo del cristiano.

¡¡ como gozan los devotos del Islam!!

Ningún fiel de otra religión decapita o asesina en nombre de su religión, de su divinidad, ni en nombre de sus libros sagrados.

Sólo hay una religión que permite a sus seguidores asesinar en su nombre. Ninguna más permite asesinar en su nombre a los que no creen en ella, o la abandonan.


NOTAS

http://www.worldmag.com/webextra/18252

http://www.liveleak.com/view?i=b42_1308852943

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«Risco de genocídio no Sudão»

Os muçulmanos no poder no Sudão não se conformam com o resultado do referendo realizado no sul do paísm no qual os seus cidadãos expressaram claramente a vontade de se livrar do jugo islâmico, com 98% de votos pela secessão. Os mujahideen reagiram, primeiro com incursões, mais recentemente com toda a força do seu poderio militar.
Isto não faz lembrar nada? Em 1999 um referendo num território maioritariamente cristão levou à reacção armada de milícias islâmicas apoiadas pelo estado do qual o território queria sair. O estado islâmico chama-se Indonésia e o estado secessionista Timor. Tratou-se, na realidade - embora ninguém nos media portugueses o tivesse percebido ou o quisesse dar a entender - de um episódio de jihad pela manutenção de um território islâmico no domínio da dar-al-islam. Na altura as pretensões dos mujahideen foram goradas. Como será agora no Sudão? E na Nigéria e na Costa do Marfim e na Somália e

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A Catholic bishop in Sudan has warned of a possible new genocide in the country.

In an interview with Catholic charity Aid to the Church in Need (ACN), Bishop Macram Max Gassis of El Obeid Diocese warned of further problems in South Kordofan, on the border between north and south Sudan, where there has been fierce fighting since the beginning of June.

He warned, “After Darfur, there is now a new impending genocide in Sudan.”

Fighting in Sudan’s north-south border state of South Kordofan started on June 6, when the north Sudanese army attacked the state capital, Kadugli, carrying out airstrikes near there and Kauda.

Among the targets were Christian churches and parish centers – one Protestant minister was killed.

Bishop Gassis, whose diocese covers the region, said, “Hundreds of thousands have now fled the area.”

Bishop Macram Gassis of El Obeid, Sudan

“The situation of the people in South Kordofan is extremely critical, especially in the capital, Kadugli.”

According to the United Nations, at least 60,000 people have fled the bombing in the region.

The bishop explained that the Nuba people, who are regarded by the north as second-class citizens, are among those hardest hit – both Muslims and Christians.

Observers in the area described the events as a targeted campaign and spoke of “ethnic cleansing.”

Many in the oil-rich Nuba Mountains in South Kordofan expressed the view that they should be part of the new country of South Sudan.

The south of Sudan voted by an overwhelming majority for independence from the north, and will officially become an independent nation on July 9, 2011.

During Sudan’s 1983-2005 civil war, the Nuba people fought on the side of the Sudanese People’s Liberation Army/Movement, which still controls the region.

While both the north Sudanese army and the SPLA entered into negotiations to cease hostilities on Thursday, June 16, after nearly two weeks of ongoing fighting, there are fears that conflict may continue. 

One of the causes of the recent violence was an attempt by the north Sudanese army to disarm SPLA forces in the region, following a demand that troops be withdrawn.

Just over a week before negotiations began, the SPLM’s Yasir Arman cautioned, “Disarming the SPLA north, if it continues, will bring a big crisis.”

Together with Abyei and Blue Nile, South Kordofan is one of three frontier regions between north and south whose status has still not been settled following January’s referendum.

The governor of South Kordofan, Ahmed Mohammad Haroun, is currently being sought by the international criminal court, on charges of war crimes and crimes against humanity in Darfur.

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22.6.11

“Primavera Árabe” – Expressão imprópria

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Primavera árabe?

P rimavera Árabe [*] decolou como a descrição padrão da turbulência no Oriente Médio ao longo dos últimos cinco meses e meio; o Google apresenta 6,2 milhões de menções, enquanto “Revolta Árabe” aparece 660 mil vezes e “Sublevação Árabe”, meras 57 mil vezes. Eu nunca uso aquela primeira expressão, e por três razões:
1. É incorreta quanto à sazonalidade. Os distúrbios começaram na Tunísia em 17 de dezembro de 2010, bem no finzinho do outono, e os eventos principais aconteceram durante o inverno — a renúncia de Ben Ali em 14 de janeiro, a renúncia de Mubarak em 11 de fevereiro, o início dos distúrbios no Iêmen em 14 de fevereiro e na Líbia, em 15 de fevereiro. A primavera [hemisfério norte] praticamente acabou e nada de novo aconteceu nos últimos dois meses e meio. Assim, para ser exato, esses eventos deveriam ser chamados de “Inverno Árabe” (que recebe 88 mil menções no Google). 
2.    Implica um otimismo sem garantia sobre as consequências. Enquanto eu noto o florescimento de um novo espírito construtivo na Praça Tahrir e em outros lugares, e avalio suas possibilidades em longo prazo, as implicações no curto prazo têm sido o empobrecimento e milhares de mortes, sem poder descartar a possibilidade de um avanço do radicalismo islamista.
3.    As demonstrações no Irã em 2011 não chegaram nem perto da magnitude daquelas de 2009, mas é inegável que tenham ocorrido no final de fevereiro e têm o potencial de inflamar — se isso acontecer, sua importância sobrepujará qualquer outra que estiver acontecendo na região. Logo, é um erro negligenciar o Irã [que não é árabe].
Portanto, e para mim, nada de “Primavera Árabe”. (Não vou nem mencionar que esta expressão faz com que eu imagine um oásis no deserto). Eu prefiro as expressões neutras e exatas tal como “Sublevações no Oriente Médio” (87 mil menções no Google).
Tradução: Henrique Dmyterko
Publicado em 31.05.2011. Também disponível no site do autor.
[*] NT: Quando os jornalistas da chamada grande mídia não sabem o que realmente está acontecendo, gostam de criar expressões ou rótulos que remetam a algum fato mais ou menos conhecido. Aqui, é óbvia a alusão à chamada “Primavera de Praga”, em 1968.
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16.6.11

Mártires católicos da Revolução Francesa

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Today in the 2005 Martyrologium Romanum there is the following entry:

11*. Ad ancoram in salo ante portum Rupifortii in Gallia, beati Antonii Constantis Auriel, presbyteri et martyris, qui, vicarius paroecialis Cadurcensis, temporibus gallicae perturbationis propter sacerdotium in squalida navi inclusus, mox morbo correptus in concaptivis adiuvandis spiritum reddidit.

have you ever heard about the prison hulks?  The old ships used to incarcerate priests and religious during the French Revolution?

This episode in human history is an example of some of the very worst treatment of man by man.

The Martyrs of Rochefort were beatified by Pope John Paul II in 1995.

These blesseds are called the “les martyrs des pontons de Rochefort… martyrs of the ‘hulks’ of Rochefort” because, condemned to deportation, they were held in old ships used as prisons (pontons): the Washington, La Décade, La Vaillante, La Bayonnaise, Les Deux-Associés, and Bonhomme Richard.

827 priests and religious refused to swear the oath of the Civil Constitution of the Clergy of 12 July 1790, by which the Assembly attempted to reorganize the Church according to the model of the state.  By this instrument the state confiscated Church property and effectively forced clergy to commit a formal act of apostasy.

Of the 827 held in the “hulks” from 11 April 1794 to 7 February 1795, 542 died enduring horrific suffering for their faith, martyrs of the “Revolution”.  Some of the 285 survivors left written testimonies about the heroic examples of their martyred companions.

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15.6.11

Daniel Greenfield: «Never again!»

Leia tudo!

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Never again. To Jews it means a refusal to give genocidal bigots another go at them.
When the Jews who fought among the crumbling walls of the Warsaw Ghetto finally made it to Israel, they came just in time to load up their guns and fight once again for their people's survival. The survivors of one genocidal ideology bent on making someone pay for its sense of humiliation came just in time to fight off another version of the same thing.

After 2000 years of running, an indigenous minority that had been kicked around by emperors and caliphs finally made its stand around a handful of farming towns and in alleyways lined by the golden stone of Jerusalem. Men and women who only a few years earlier hid in their homes from Muslim pogroms, covering their children's ears at the cries of "Ibtach Al Yahood", "Kill the Jews", took up arms. They stood alongside the settlers who had drained the swamps, the refugees fleeing Muslim terror in Egypt and Syria and the remains of the original indigenous Jewish population which had survived the conquests of seven empires. They stood and fought for their lives against an ideology that said they had no right to be free because of their religion and the blood in their veins.

Like their Nazi allies, Muslim violence was driven by a need to reverse the humiliations of World War I which dismantled the Ottoman Empire and gave regional minorities like the Jews a chance at rebuilding their own independent countries. But going back to 1914 was only the beginning. Some wanted to go back to 1492 and the fall of Granada. Others in the Saudi desert were dreaming of a return to the 6th century. But what they all had in common was a refusal to tolerate an independent non-Muslim state in their midst.

And even though Allied troops were still within sight of the rubble, ruined tanks and barbed wire camps remaining behind from the last time that their countries had chosen to appease this sort of thing with a slice of Czechoslovakia, they still chose appeasement. Again.

President Wilson had idealistically envisioned turning over portions of the territories of the Ottoman Empire to peoples like the Jews and Armenians who had struggled for so long under Muslim dominion. But the European willingness to tolerate and appease Muslim violence nearly put an end to both dreams. Turkish armies swarmed over Armenia at the first opportunity and Arab armies did the same in Israel. The lesson was the same. If you wanted to be free to practice your religion, to live under your own laws, not those of the Koran which dictate the inferiority of minorities, you had to stand up and fight for it without counting on the support of the West.

Wilsonian idealism was no match for British imperialism, and that was no match for Postmodern globalism. Both British and Globalist empire building desired stability at all costs.

President Wilson had wanted to give the peoples oppressed by Islam a chance to breathe the fresh air of freedom. But the British Empire turned over the largest part of Israel to a Saudi monarchy to rule over as the newly created nation of Jordan. Then the UN partitioned the remainder into a stump with indefensible borders in an attempt to appease the gathering Muslim armies. But the armies of Islam rejected even that partition and chose war instead. Now Barack Hussein Obama and a coterie of European leaders would like Israel to go back to those indefensible borders. Not because it will bring peace, but for the same reason that he retasked NASA from studying stars, to pander to the genocidal fragility of Muslim self-esteem.
The West has sold out Israel, the way that it once sold out Czechoslovakia, and with the same results. Muslims are no more satiated with the prospect of an ethnically cleansed Palestine, than Nazi Germany was with a Volksdeutsche Sudetenland. Their vision of a "Pure Arab-Muslim Palestine" inevitably swallows Israel, as it already does on their maps, and then aspires to join with a Pan-Islamic state stretching from Cairo to Damascus and beyond.
Just as the Sudetenland was only the first bite out of Czechoslovakia, then Eastern Europe and then Europe... and then the world. So too Palestine is the first bite, followed by the overthrow of secular regimes in Egypt, Algeria and Turkey, the conquest of multi-religious African states, like Nigeria and Cote d'Ivoire, and then Drang Nach Osten, into Europe, and finally civil war in Thailand, India and China. This is what World War III looks like. And it is happening before our very eyes.
Never Again has become an empty phrase. Something that angry world leaders shout when the victims aren't eager enough to appease the Third Reich or the Seventh Caliphate. Leaders who are committed to the false narrative that the violence in the Middle-East is caused by insufficient territorial concessions by the region's only Non-Muslim minority to its Sunni Muslim majority, rather than the unwillingness of the Sunni Muslim majority to practice tolerance in their own countries, throughout the region or the world.

Jews cannot allow Never Again to become an empty catchphrase or a universalized call for tolerance that fails to hold Islam accountable for its promotion of bigotry, violence and genocide. While Jewish leaders occupy themselves with empty calls for interfaith brotherhood, Jewish farms and villages once again fall under siege. Farmers sleep with guns by their beds, children are taught to race to bomb shelters and Jewish store windows are smashed in the cities of Europe. Armies of soldiers, terrorists and diplomats gather once again to carve up Jerusalem. To ethnically cleanse half the city of Jews and turn it into a platform for terror.
This is what going back to 1948 means. It means going back to a religious civil war and a stump state with indefensible borders. This is the vision of international diplomats who hope that feeding a big enough piece of Israel to the crocodile will put it to sleep. It is also the vision of a leftist elite in Israel which wants to turn the Gush Dan region into a cramped tech-happy Singapore, and let Jerusalem and the farmlands fall into enemy hands, in the hope that they will be left alone to sip coffee in their cafes and launch their IPO's in peace. But it is nothing more than the Warsaw Ghetto with an internet cafe. And even they are only a few years away from discovering that.

Shimon Peres' vision of Tel Aviv as the Warsaw Ghetto with an internet cafe and a nanotech research lab, is colliding with the Muslim vision of the fall of Israel as the first of many victories over the Kufar, and the vision of world leaders of Israel dissolving away to make room for a Muslim Middle-East. Only one of those visions can survive or none of them. Either Israel falls to the first wave of a Jihad that will engulf the world, or it once again makes a stand.
The Europeans and Obama competing to offer Israel the best 'alternative' before the UN recognizes Palestine is nothing but empty theater. There is no compromise that will settle the issue. Nor can Israel ever convince the world compromisers of that. So long as the world community accepts the inevitability of Islamic dominance, then Israel will always be the goat. The sacrifice to appease the beast.

If Never Again means anything at all, it is a refusal to be the sacrifice, to be placed on the altar of appeasement for a Holocaust, a burnt offering, to the Moloch of insatiable rage and genocidal fanaticism.

Jews say, "Never Again" for the same reason that rape victims say, "No, Means No." We have been there. We are not going to allow it to happen again. No matter what words are used to justify it. No matter how the perpetrators turn the world around so that they are right and we are wrong, so that their violence is just and our self-defense isn't. No matter how many ways they find to blame us for their actions. World leaders may try to carve us up, but we will never consent to it. Not orally and not silently. We will resist.

We have said Never Again so many times that we have forgotten what the words mean. They have lost their edge. Worse, they have lost their purpose. It's time to stop just saying , "Never Again". It's time to mean it.
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13.6.11

Primavera degenera em Inferno para os cristãos egípcios

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Tolerant New Egypt: "When they were beating me, they kept saying: 'We won't leave any Christians in this country'"

It is a politically correct article of faith that there is nothing inherently abusive in Sharia law that cannot be written off as tribal or cultural baggage, or as a prescription so old (14 centuries ago, after all!) that it is assumed no longer to be relevant even to sincere believers -- at least not to that Vast Majority of Moderates. Qur'an 9:29? Nah. Dhimmitude is so last-millennium.

The subsequent assumption is that since Islam is supposed to be peaceful and tolerant, an increased role for Islam in society can only be good for peace and tolerance in a way that would just happen to match Western standards and expectations for those concepts.

And so people are surprised when things like this happen, and that they keep happening. "As Islamists Flex Muscle, Egypt's Christians Despair," by Yaroslav Trofimov for the Wall Street Journal via AINA, June 12:

QENA, Egypt—Five weeks after the fall of the Egyptian regime, Ayman Anwar Mitri's apartment was torched. When he showed up to investigate, he was bundled inside by bearded Islamists.
Mr. Mitri is a member of the Christian Coptic minority that accounts for one-tenth of the country's 83 million people. The Islamists accused him of having rented the apartment—by then unoccupied—to loose Muslim women.
Inside the burnt apartment, they beat him with the charred remains of his furniture. Then, one of them produced a box cutter and performed what he considered an appropriate punishment under Islam: He amputated Mr. Mitri's right ear.

That could be read as an allusion and possible prelude to amputations more explicitly prescribed in Islamic law, such as Qur'an 5:33's call to amputate the hand and foot on opposite sides from those who "spread mischief in the land."

"When they were beating me, they kept saying: 'We won't leave any Christians in this country,'" Mr. Mitri recalled in a recent interview, two months after the March attack. Blood dripped through a plastic tube from his unhealed wound to a plastic container. "Here, there is a war against the Copts," he said.
His attackers, who were never arrested or prosecuted, follow the ultrafundamentalist Salafi strain of Islam that promotes an austere, Saudi-inspired worldview. Before President Hosni Mubarak was toppled on Feb. 11, the Salafis mostly confined themselves to preaching. Since then, they've entered the political arena, drawing crowds and swaying government decisions. Salafi militants also have blocked roads, burned churches and killed Copts.
The Salafi vigilantes who brutalized Mr. Mitri later ignited a bigger controversy that is still playing out here in Qena, an upper Nile governorate of three million people—almost one-third of them Copts. In April, Egypt's new government appointed a Christian to be Qena's new governor, replacing another Christian who had held the post under Mr. Mubarak. The Salafis responded by demanding a Muslim governor and organizing mass protests, showcasing the movement's new political influence.
The crisis in Qena, still not fully resolved, raises questions about what kind of Egypt will emerge from the post-revolutionary chaos—and whether its revolution will adhere to the ideals of democracy and equality that inspired it. The country's military rulers and liberal forces may ultimately succeed at containing religious strife and limiting the Islamists' political power....
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